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ARCHIVÉ - Maladies chroniques au Canada

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Volume 30, no 1, décembre 2009

Descriptions longues des images

Article 1

Figure 1a
Prévalence de l’obésité (IMC ≥ 30) chez les adultes, selon la région sociosanitaire, l’âge et le sexe normalisés de la population canadienne de 2005 (de 25 à 64 ans), Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, 2005

Les taux d’obésité varient selon la région sociosanitaire, le plus faible étant de 8,90 % et le plus élevé, de 32,24 %. Les taux d’obésité les plus élevés ont été observés en Saskatchewan, dans le centre sud du Manitoba et sur la côte est (Terre-Neuve et Labrador et Nouveau-Brunswick), tandis que les taux les plus faibles ont été observés dans le sud de la Colombie-Britannique, dans le centre de l’Alberta, dans le sud de l’Ontario et au Québec. Les grands centres urbains de Vancouver et de la région du Lower Mainland de la Colombie-Britannique, de Calgary, d’Ottawa, de Montréal et de Toronto font partie des régions affichant les taux les plus bas.

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Figure 1b
Prévalence de l’embonpoint et de l’obésité (IMC ≥ 25) chez les adultes, selon la région sociosanitaire, l’âge et le sexe normalisés de la population canadienne de 2005 (de 25 à 64 ans), Enquête sur la santé dans les collectivités canadiennes, 2005

Les taux d’embonpoint/obésité varient selon la région sociosanitaire, le taux le plus faible étant de 36,28 % et le taux le plus élevé, de 71,11 %.. Les taux d’embonpoint/obésité les plus élevés ont été observés en Saskatchewan, dans le centre sud du Manitoba et sur la côte est (Terre-Neuve et Labrador et Nouveau-Brunswick), tandis que les taux les plus faibles ont été observés dans le sud de la Colombie-Britannique, dans le centre de l’Alberta, dans le sud de l’Ontario et au Québec. Les grands centres urbains de Vancouver et de la région du Lower Mainland de la Colombie-Britannique, de Calgary, d’Ottawa, de Montréal et de Toronto font partie des régions affichant les taux les plus bas.

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Figure 2a
Coefficient de Gini, obésité (IMC ≥ 30) chez les adultes (hommes et femmes, 25-64 ans), selon la région sociosanitaire

Les courbes de Lorenz montrent que, dans le cas des régions géographiques (pour les deux sexes), avec un coefficient de Gini de 0,153, seulement 18 % des cas d’obésité se trouvent dans les 10 % de la population qui, selon la région géographique, affiche le taux le plus élevé de risque d’obésité;

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Figure 2b
Coefficient de Gini, obésité (IMC ≥ 30) chez les adultes (femmes, 25-64 ans), selon le revenu

Les courbes de Lorenz montrent que, dans le cas du revenu (pour les deux sexes), avec un coefficient de Gini de 0,129, seulement 13 % des cas d’obésité se trouvent dans les 10 % de la population qui, selon le revenu, affiche le risque d’obésité le plus élevé.

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Article 3

Figure 1
Risque relatif estimé pour la définition des asthmatiques de référence, selon le modèle

La figure 1 illustre la distribution géographique des asthmatiques de référence de la cohorte, selon le modèle. Le taux d’asthme varie parmi les asthmatiques de référence; et le risque relatif le plus élevé s’observe à Calgary, où il dépasse de 22 % la moyenne provinciale. Le risque relatif de la région d’Edmonton, quant à lui, est très près de la moyenne provinciale (il lui est supérieur de 0,3 %). Finalement, les zones rurales du centre et du nord de l’Alberta ont la prévalence d’asthme la plus faible de la cohorte.

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Figure 2
Groupes significatifs d’après l’hypothèse nulle de définition de cas constante

Les groupes statistiquement significatifs d’après les deux hypothèses nulles sont délimité. En fonction de notre hypothèse nulle de risque constant, chaque définition de cas d’essai d’asthme, à l’exception de B, fut associée au groupe statistiquement significatif le plus probable. Le groupe B, même s’il n’est pas statistiquement significatif, a été circonscrit dans une région semblable à celle du groupe D.

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Figure 3
Groupes significatifs d’après l’hypothèse nulle de risque constant

Le risque relatif lié à chaque groupe est relativement faible; dans la plupart des cas, la population à l’étude qui habite dans le groupe était 25 % plus susceptible d’être atteinte d’asthme que la population à l’étude vivant à l’extérieur du groupe. La définition de cas F faisait exception : le risque relatif d’asthme dans le groupe était supérieur au double du risque hors du groupe. Tous les groupes délimités représentaient les régions où la probabilité de rejeter l’hypothèse nulle de risque constant était la plus élevée pour chacune des définitions de cas.

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